Le moins que l’on puisse dire, c’est que la météo n’a pas été favorable aux travaux des vignes, tant mécaniques que manuels. Avec des jours courts, très peu de luminosité et des pluies quasi quotidiennes, les sols sont lourds et particulièrement détrempés empêchant tout passage d’engin dans de bonnes conditions. Les rivières débordent et les champs sont à blanc d’eau. De fait, les chantiers de taille sont rares sur les coteaux et les enjambeurs restent, pour le second mois consécutif, au hangar. Une grande lassitude envers ce " temps pourri" alimente les conversations, c’en est trop de cet automne qui s’éternise !
Un chantier majeur pour la Champagne et ses partenaires est pourtant sorti des eaux en décembre et montre des signes indéniables d’avancement bravant les intempéries, c’est le chantier de Qanopée.