Février a encore été bien maussade. Il a plu presque tous les jours. Les rivières débordent encore. Les sols sont toujours gorgés d’eau. Evidemment, sous cette couverture nuageuse quasi permanente, point de gel pour raffermir les sols. Les températures sont plutôt douces. Par conséquent, les engins mécaniques lourds n’ont pas pu intervenir sans risquer de gros dégâts sur les sols. Les tracteurs restent au hangar. Le retard s’accumule donc encore sur les chantiers de broyage et d’épandage des amendements. Les herbicides, pour la plupart, n’ont pas pu être appliqués pour entretenir le dessous du rang. Les chantiers de taille se poursuivent pourtant dans des conditions bien peu agréables. Même si les jours rallongent visiblement, la luminosité manque souvent.